NOS IMPOTS
Publié le 2 Septembre 2010
POURQUOI? Notre gouvernement semble vouloir ignorer qu' une TAXE,c'est comme un impot,ILFAUT PAYER.
Aujourd’ hui, 28 juillet 2010, les Français sont enfin libérés du fisc. Les contribuables ont travaillé pour l’ État jusqu’ au 27 juillet. Cela représente quasiment 7 mois de servage.
D’après les données de l’ OCDE, les dépenses publiques de la France (État, collectivités territoriales, comptes sociaux) représenteront cette année 56,9 % du produit intérieur brut.
Si l’on rapporte cette proportion à l’année 2010, cela signifie que les contribuables travaillent jusqu’au 27 juillet pour l’ État ! Ce n’est donc qu’après presque sept mois de travail pour l’État que les contribuables peuvent profiter pour eux-mêmes de ce qu’ils ont gagné.
Depuis 1999 que Contribuables Associés célèbre comme il se doit le jour de libération fiscale de l’année, celui-ci n’avait jamais été aussi tard. Avec un record de précocité en 2001 (10 juillet), il n’avait jamais dépassé le 17 juillet, en 1999.
L’an dernier, en 2009, le jour de libération fiscale était le 15 juillet. Ce qui signifie qu’il a reculé de 13 jours en un an !
Heureusement que Nicolas Sarkozy « n’a pas été élu pour augmenter les impôts »…
NOS POLITICINS DE METIER VEULENT NOUS FAIRE CROIRE QU'UNE TAXE N'EST PAS IMPOT
VOTER POUR UN CANDIDAT SOUTENU PAR L'UMPS OU UN PARTI TRADITIONNEL,C'EST VOTER POUR UNE POLITIQUE DE L'ÉCHEC.
Les dernieres études de nos dirigants:FAIRE PAYER LES CONTRIBUABLES
1er septembre 2010
Dix milliards à trouver dans l’immédiat pour combler les déficits publics. Les propositions commencent à émerger, et ce sont, avec l’augmentation des impôts sur le capital, les fameuses niches fiscales qui sont visées par le gouvernement. On vient d’entendre Christine Lagarde évoquer les niches dans le secteur de l’assurance-vie, mais il est acquis que l’on ne touchera pas à celles qui ont pour objet de développer l’emploi, la recherche et l’innovation, et que l’on ne pénalisera pas les personnes défavorisées.
Cette dernière remarque renforce l’observateur dans la constatation que l’Etat-providence est plus que jamais tabou. Ni la gauche, ce qui n’étonne pas, ni la droite au pouvoir n’osent évoquer de possibles réformes à ce sujet, qui concerne il faut le rappeler, un ensemble de prestations sociales drainant plus de 550 milliards d’euros chaque année et nous plaçant maintenant au premier rang mondial....lire la suite iFRAP