RICHES OU PAUVRES
Publié le 26 Août 2012
L'UMP comme le PS actuellement ne traite pas LE VRAI PROBLEME.Ce n'est pas moins de riches qu'il nous faut,mais moins de pauvres; Toute personne ayant des revenus inférieur à 3 fois le SMIG, par exemple, ne devrait être imposé pour sa fortune et donc ne pas subir l'ISF.
De même un taux d'imposition de 75% est une absurdité qui nous coûtera cher dans le futur.
A mon avis nous devrions supprimer la totalité des niches fiscales et introduire dans ses revenus toutes les prestations sociales comme l'APF,le RAS,les allocations familiales,les diverses primes,etc,etc,...pour obtenir le revenu à déclarer.
Cette déduction pourrait par 'exemple de 90% et limiter à 100€ pour les cotisations syndicales ou politique,100ù pour les dividendes réinvestit dans l'entreprise,90% dans les associations caritatives comme le restaurant du coeur,le secours populaire,etc,etc,..,70% pour les associations défendant les consommateurs,etc,etc,..
Mais aucune de ces associations ne doit avoir une position de monopole pour créer une concurrence entr'elle. Ainsi les donateurs jugeraient par ses dons celles qui sont efficaces.
Dans ce cas la création d'un ministère de la concurrence est nécessaire pour définir par activité le seuil de monopole et surveiller son application.
Le profit des entreprises devrait être partagé en 3 tiers égaux: 1 pour les actionnaires,1 pour les salariés et 1 pour les investissements qui sont les emplois de demain. Comme indiqué antérieurement l'actionnaire peut ne pas toucher son dividende et le laisser pour investir. Il en sera de même pour le salarié.Dans ces 2 cas ce revenu n'est pas source de revenu et donc non déclarable puisque l'un et l'autre préfèrent le futur au présent .
Au niveau du Languedoc-Roussillon qui compte paradoxalement parmi les régions de France les plus dynamiques au niveau de la richesse créée… mais parmi les plus à la traîne en matière de créations d’emplois, Perpignan et Béziers sont les villes les plus mal loties. Elles se classent toutes deux en dixième position avec 32 % de ménages pauvres. Avec 18 680 familles, soit 29 % de sa population, Nîmes figure en 16 ème place, au coude-à-coude avec sa voisine, Avignon, classée 14 ème (12242 ménages sous le seuil de pauvreté, soit 30 % de sa démographie). En 2009, la capitale régionale, Montpellier comptait près de 30 000 ménages pauvres (27 %), ce qui lui vaut une 20 ème place.
LE FLASH
LUNDI 27 AOUT 2012