RASSEMBLE DES DROITES

La droite est majoritaire et la gauche a tous les pouvoirs parce que l'UMP pense être toute la droite.La différence fondamentale entre la droite et la gauche est dans la gestion de notre argent.La droite vit dans la réalité économique et la gauche dans le rêve.La réalité arrive brutalement et la rigueur est alors d'autant plus forte qu'elle a beaucoup dépensé,sauf peut-être maintenant puisque  les caisses sont vides et la croissance nulle.

La droite devrait créer une structure regroupant toutes les sensibilités de droite autour de 3 à 4 valeurs fondamentales(exemple:la fiscalité-liberté,l'amour de sa patrie,l'immigration,le référendum-veto,celui d'initiative populaire,etc,etc,...

Cela suppose la disparition de l'UMP comme parti politique et son remplacement par X sensibilités unis entre-eux sur le plan législatif pour gagner les élections.

L'UMP abandonnerait la signification du P=populaire pour lui redonner sa signification initiale PRESIDENTIELLE.Son état-major serait composé uniquement de personnalités ne briguant pas la Présidence de la République. Son rôle se limiterait à organiser les primaires,veiller que les régions organisent des primaires pour designer les candidats souhaités par le peuple et veiller à une entente normale entre toutes les sensibilités.

Chaque sensibilité s'organiserait comme un parti politique avec son propre état-major pour nous proposer des solutions de droite aux problèmes actuelles. La conséquence est que la sensibilité proposant les meilleurs solutions progresserait en nombre d'adhérent et donc dans les primaires augmenterait ses chances d'être le candidat de LA DROITE.

Chaque sensibilité de droite faisant parti de cette UMP s'engagerait à respecter l'unité de candidature afin de gagner les élections.

Nous vivrons alors à une cohabitation entre tontes les sensibilités de droite pour le bien de LA FRANCE.

Comme l'a écrit dans les 4 vérités Jean Rouxel:"la gauche est majoritaire en siège tout en étant minoritaire en voix"; Il est donc temps que cela cesse pour le bien de notre pays.

Concernant les référendums il faudrait les rendre facilement accessible au peuple en plaçant la barre pour les déclencher à par exemple à environ 750.000 inscrits sur listes électorales.

A titre d'exemple en Languedoc-Roussillon nous avons vécu avec une cohabitation UMP/FN et nous avions 2 fois moins d'impôts et 3 fois de dette. L'UMP a cassé cette cohabitation et Georges Frêche a été élu avec la règle des 25/75 pour remplacer la proportionnelle intégrale et nous subissons les excès de dépenses et donc d'impôts et de dettes. 

Souvenons nous des propos de Alain Minc:"Quand en janvier 2012 Nicolas Sarkosy fait campagne sur le rattrapage de l'Allemagne avec la compétitivité,la TVA sociale il ne gagne pas 1 point et ensuite il parle suivant les conseils de Buisson il gagne 5 à 6 points." NMK et consorts devraient se souvenir de ces chiffres avant de parler.

Juppé à la rescousse d'une UMP déchirée ?

pour sortir de ces inégalité croissante:

Un billet de Christian Vanneste*

Chouette. La mesurette politique du plan d’urgence européen de 120 milliards d’euros fait monter l’euro face aux autres monnaies. Les Européens vont pouvoir voyager davantage, acheter plus en dehors de la zone et travailler encore moins puisqu’ils exporteront moins. Certes, les cigales du Sud vont encore pendant un moment faire tourner le « made in Germania » mais, comme dirait Hollande, après moi le déluge… des délocalisations, du chômage et des petits matins qui déchantent, après les grands soirs où l’on chante sous des drapeaux étrangers.

*Christian Vanneste est un ancien député UMP du Nord.

  Les 6 tendances pouvant être distinguées au sein de la droite sont :

• le libéralisme (dans certains pays, les libéraux sont considérés comme étant de gauche)
• le gaullisme
• le nationalisme
• le souverainisme
• la démocratie chrétienne
• le populisme (qui peut aussi parfois être de gauche)

  « Etre de gauche, ce n’est certainement pas dépenser à tort et à travers, ce n’est pas non plus refuser de réduire la dépense, mais c’est le faire de manière juste » déclare le banquier Jean Peyrelevade. Celui qui avait pris position en faveur de François Bayrou lors de la présidentielle se déclare également hostile à la mise au pilori des riches. Il faut « ajuster le financement public au nécessités réelles » ajoute-t-il.