LES PRIMAIRES

Publié le 14 Mars 2013

 

Les élections peuvent être de différents types:

  • primaire fermée : seuls les adhérents du parti politique sont autorisés à désigner le candidat.
  • primaire ouverte : l'ensemble des citoyens peut participer au scrutin. Dans ce cas, la primaire peut être organisée par le parti politique lui-même ou faire l'objet d'une législation. Il est parfois exigé du votant qu'il signe une déclaration morale d'adhésion au projet porté par le parti.
En démocratie,à mon avis, SEUL LES PRIMAIRES FERMEES devraient être utilisé. Les adhérents d'un parti politique doivent assumer la responsabilité du choix de leur(s) candidat(s) et c'est au peuple de dire par son vote s'il accepte ou refuse le candidat du parti politique.

Ainsi à DROITE comme à GAUCHE le candidat le plus sérieux pour le peuple récoltera ses voix.

La constitution de la Véme république donne le pouvoir à l'assemblée nationale. Il faut dons revenir à une élection de 7 ans pour LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE et lui enlever le pouvoir de dissoudre l'assemblée nationale en élisant à mi-mandat la moitié des élus de façon à donner plus de poids au peuple et donc moins aux partis politiques.

L'élection à mi-mandat devrait être généralisé à toutes les collectivités territoriales ou dans le scrutin de liste les élus devraient l'être à la proportionnelle intégrale. Pour éviter des pourparlers contraires à la démocratie le maire ou le président devraient être la tête de la liste arrivée en tête.

La droite devrait créer un FRONT DE DROITE comme la gauche l'a fait avec le FRONT DE GAUCHE pour gagner les élections.

Pour le présidentielle seul le candidat arrivé en tête se maintiendrait.

Pour les scrutins de liste au 2ème tour la liste serait conduite par le candidat de la liste arrivé 1ére et les candidats seraient réparties à la proportionelle des voix obtenues de façon à créer un combat d'idée et de respectabilité entre tous les partis. 

 

 

  

              il faut éviter de revivre cela.

Le contribuable dormeur doit se réveiller ! François Hollande et son gouvernement, en l’espace de 10 mois, ont poussé les français dans leurs retranchements fiscaux. Ce n’est plus seulement le « riche » ou le cadre supérieur qui sont visés par les hausses d’impôts, les taxes et les prélèvements, c’est aussi – et surtout – le salarié de la classe moyenne et les bénéficiaires des aides de l’Etat. De l’ISF aux allocations familiales, le gouvernement fiscalise tout ce qu’il peut. Alors, inévitablement, le ras-le-bol monte et un sondage de l’Institut BVA, paru le 7 mars 2013, confirme ce sentiment d’exaspération.

L’institut de sondage BVA explique que « les Français ne croient pas que le gouvernement pourra alléger la fiscalité sur les classes moyennes, ni qu’il parviendra à inverser la courbe d’évolution du chômage, ni encore moins qu’il parviendra à tenir son objectif de 3% de déficits. » La vox populi qui pourtant n’a pas fait l’ENA et ne sort pas de la promotion Voltaire que François Hollande place à tous les étages de l'Etat, est réaliste sur la situation économique. Les politiques ont en effet oublié une chose : le français moyen n’a peut-être pas la culture livresque de l’énarque, mais il sait compter et voit ce qui lui reste à la fin du mois, ce qui vaut plus que toutes les analyses et les discours économiques,a écrit CONTRIBUABLES ASSOCIES.

 

   

C'est le socialisme à LA FRANCAISE  tel que le pratique le PS actuellement et c'est regrettable pour le démocratie. 

Rédigé par moulin

Publié dans #La démocratie

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article