RECETTES DES PARTIS POLITIQUES FRANCAIS
Publié le 21 Mai 2011
Le parti le plus riche est le P.S.Il est censé défendre les pauvres. Mais en lisant ce livre vous aurez des surprises:
La conclusion pourrait être: « jusqu’à présent, le socialisme a surtout trahi ses promesses et a fondamentalement toujours échoué. » Pourquoi ?
Parce que « ses tenants ont peu à peu oublié le but pour se concentrer sur les moyens. Ils ont abandonné l’idée de l’amélioration objective des conditions
de vie des plus pauvres pour défendre des programmes de revanche sociale dont l’État serait l’instrument exclusif. » Concernant l'U.D.F.:RECETTES. L'Union pour la démocratie française a été absorbée en 2007 par le Modem. Mais la vieille UDF dispose encore aujourd'hui de sa propre trésorerie. Et non des moindres. Ce sont 3,8 millions d'euros qui sont entrés dans ses caisses en 2009. Le parti n'a reçu que 14 000 euros de cotisations d'adhérents et d'élus. Mais les "produits financiers" (1,5 million) et "autres produits" (2,2 millions) démontrent qu'il jouit encore de placements très juteux. L'UDF a ainsi enregistré un excédent de 948 982 euros en 2009. Un véritable trésor de guerre. Concernant le parti radical valoisien:
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En deçà de la barre d'un million d'euros de recettes, on retrouve encore bien des partis connus. Le Parti communiste réunionnais, disposant de lien très forts (et parfois conflictuels)
avec le PC de métropole, est 17e. Derrière lui, le Parti ouvrier indépendant (Gérard Schivardi), Debout la République (Nicolas Dupont-Aignan), Chasse, pêche, nature et tradition (Frédéric
Nihous) ou encore le Mouvement républicain et citoyen (Jean-Pierre Chevènement) font régulièrement parler d'eux lors de grandes échéances électorales. De nombreux micro-partis Plusieurs partis d'Outre-mer figurent aussi dans ce classement élargi ainsi que de nombreux micro-partis. Certains indépendants, d'autres moins. Citons notamment parmi ces derniers la Cotelec (association de soutien à Jean-Marie Le Pen), "Changer, c'est possible" (Valérie Pécresse), "Gauche moderne" (Jean-Marie Bockel), "Démocratie et République", anciennement "Metz pour tous" (de l'ex-UMP Jean Louis Masson) ou encore Solidarité et progrès (Jacques Cheminade). Dans le top-50 enfin, on trouve "Génération France" (Jean-François Copé), l'Alliance centriste (Jean Arthuis) et "Dialogue et initiative" (Jean-Pierre Raffarin) qui ne figurent pas dans le tableau ci-contre |