RECETTES DES PARTIS POLITIQUES FRANCAIS

Publié le 21 Mai 2011

Les 30 partis les plus riches  
  Rang Parti Recettes  
  1. Parti socialiste 57 124 791 €  
  2. L'Union pour un mouvement populaire 54 019 008 €  
  3. Parti communiste francais 31 547 710 €  
  4. Les Verts 6 576 931 €  
  5. Mouvement démocrate 5 633 100 €  
  6. Mouvement pour la france 4 745 215 €  
  7. Front national 4 117 265 €  
  8. L'Union pour la démocratie française 3 821 653 €  
  9. Lutte ouvrière 3 188 639 €  
  10. Mouvement national républicain 2 314 788 €  
  11. Association PSLE - Nouveau centre 2 176 945 €  
  12. Parti radical de gauche 2 132 069 €  
  13. Ligue communiste révolutionnaire 1 795 062 €  
  14. Nouveau parti anticapitaliste 1 668 032 €  
  15. Fetia api 1 455 154 €  
  16. Parti de gauche 1 305 167 €  
  17. Parti radical 1 292 169 €  
  18. Parti communiste réunionnais 884 129 €  
  19. Parti ouvrier indépendant 783 902 €  
  20. Debout la république 622 455 €  
  21. Chasse pêche nature et traditions 608 068 €  
  22. Mouvement républicain et citoyen 570 639 €  
  23. Rassemblement UMP 490 800 €  
  24. Cotelec 460 166 €  
  25. Parti chrétien démocrate 451 788 €  
  26. Changer c'est possible 390 991 €  
  27. La Gauche moderne 389 792 €  
  28. Démocratie et République 358 720 €  
  29. Solidarité et progrès 358 446 €  
  30. Parti progressiste martiniquais 328 781 €  
  Source : CNCCFP - comptes 2009  

Le parti le plus riche est le P.S.Il est censé défendre les pauvres. Mais en lisant ce livre vous aurez des surprises:-cid_part2_01070903_03040807-p-l-d.gif

 La conclusion pourrait être: « jusqu’à présent, le socialisme a surtout trahi ses promesses et a fondamentalement toujours échoué. » Pourquoi ? Parce que « ses tenants ont peu à peu oublié le but pour se concentrer sur les moyens. Ils ont abandonné l’idée de l’amélioration objective des conditions de vie des plus pauvres pour défendre des programmes de revanche sociale dont l’État serait l’instrument exclusif. »
Ce soir-là, vous serez surpris par le ton de ce professeur d'économie de l'ESCP Europe et de l'Ecole des Mines de Paris : « jusqu’à présent, le socialisme a surtout trahi ses promesses et a fondamentalement toujours échoué. » Pourquoi ? Parce que « ses tenants ont peu à peu oublié le but pour se concentrer sur les moyens. Ils ont abandonné l’idée de l’amélioration objective des conditions de vie des plus pauvres pour défendre des programmes de revanche sociale dont l’État serait l’instrument exclusif. »

Concernant l'U.D.F.:RECETTES. L'Union pour la démocratie française a été absorbée en 2007 par le Modem. Mais la vieille UDF dispose encore aujourd'hui de sa propre trésorerie. Et non des moindres. Ce sont 3,8 millions d'euros qui sont entrés dans ses caisses en 2009. Le parti n'a reçu que 14 000 euros de cotisations d'adhérents et d'élus. Mais les "produits financiers" (1,5 million) et "autres produits" (2,2 millions) démontrent qu'il jouit encore de placements très juteux. L'UDF a ainsi enregistré un excédent de 948 982 euros en 2009. Un véritable trésor de guerre.

Concernant le parti radical valoisien:

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Jean-Louis Borloo. © Benoît Deshayes/L'Internaute
 

 

RECETTES. Indépendant le parti de Jean-Louis Borloo ? Beaucoup de ses adversaires auront dû mal à le croire. En 2009, celui-ci a reçu une contribution d'1 million d'euros de l'UMP comme en attestent les comptes du parti majoritaire que nous nous sommes procurés. Ce qui représente plus des trois-quarts du budget global des radicaux. Les autres entrées d'argent paraissent infimes en comparaison : en 2009 le Parti radical a enregistré 149 130 euros de cotisations de ses adhérents, 11 521 euros de contributions de ses élus et seulement 42 616 euros de dons.

A la lecture on comprend toutes les difficultés de ce parti pour se faire connaitre. Il est" muselé" par l'U.M.P.

 Source de ces informations:L'internaute(copeir-coller) sauf ce qui est en rouge       

En deçà de la barre d'un million d'euros de recettes, on retrouve encore bien des partis connus. Le Parti communiste réunionnais, disposant de lien très forts (et parfois conflictuels) avec le PC de métropole, est 17e. Derrière lui, le Parti ouvrier indépendant (Gérard Schivardi), Debout la République (Nicolas Dupont-Aignan), Chasse, pêche, nature et tradition (Frédéric Nihous) ou encore le Mouvement républicain et citoyen (Jean-Pierre Chevènement) font régulièrement parler d'eux lors de grandes échéances électorales.

De nombreux micro-partis

Plusieurs partis d'Outre-mer figurent aussi dans ce classement élargi ainsi que de nombreux micro-partis. Certains indépendants, d'autres moins. Citons notamment parmi ces derniers la Cotelec (association de soutien à Jean-Marie Le Pen), "Changer, c'est possible" (Valérie Pécresse), "Gauche moderne" (Jean-Marie Bockel), "Démocratie et République", anciennement "Metz pour tous" (de l'ex-UMP Jean Louis Masson) ou encore Solidarité et progrès (Jacques Cheminade). Dans le top-50 enfin, on trouve "Génération France" (Jean-François Copé), l'Alliance centriste (Jean Arthuis) et "Dialogue et initiative" (Jean-Pierre Raffarin) qui ne figurent pas dans le tableau ci-contre

Rédigé par moulin

Publié dans #Argent public

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